A l’occasion de la Saint Valentin, afin de réchauffer les cœurs, voici un extrait d’une missive tendre de Mozart à son épouse bien-aimée Constance, rédigée le 16 avril 1789…
Artiste prolifique, aux multiples talents, Jean-Noël László nous fait découvrir son univers, entièrement tourné vers les Lettres et les mots. L’occasion de revenir sur un parcours riche, et d’exprimer son amour pour la langue française.
Un prénom magnifique, qui vient du latin aurum, signifiant « or ». Et un destin tout autant lumineux. Diplomée à la fois de Sciences Po et du Conservatoire Royal de Bruxelles, la belle et talentueuse Auriane Sacoman a été tour à tour chef d’entreprise, cartographe et chanteuse lyrique. Elle a accompli nombre de ses rêves… L’art, le chant, reste son grand amour. Mais le parcours n’a pas été simple, comme elle nous le confie. Rencontre avec une femme courageuse et accomplie.
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! (Victor Hugo)
Symbole de force, beauté et pureté, le magnolia incarne aussi l’amour profond. Par sa floraison dès les premiers jours de mars, il annonce le renouveau, le printemps, et l’espérance joyeuse. Nombre de poètes ont salué sa beauté, parmi lesquels Pablo Neruda.
Elle a fait de sa vie une œuvre d’art, en sublimant la nature dans des empreintes éternelles. L’artiste peintre Isabelle Mazzucchelli revient sur sa passion pour les plantes, symboles de beauté fragile, sources de joie et d’inspiration, dans des créations éclatantes de couleurs et d’espoir. Rencontre avec une artiste lumineuse.
Lydie, es-tu sincère ? Excuse mes alarmes :
Tu t’embellis en accroissant mes feux ;
Et le même moment qui t’apporte des charmes
Ride mon front et blanchit mes cheveux.
Au matin de tes ans, de la foule chérie,
Tout est pour toi joie, espérance, amour ;
Et moi, vieux voyageur, sur ta route fleurie
Je marche seul et vois finir le jour…
Je m’occupais, hier, de mon installation, lorsque, dans mon nouveau logement, j’ai reçu ta lettre. Je ne puis te dire combien j’ai été navré de voir que tu proposais de me laisser seul quelque temps encore ! Ma Minna aimée, il n’est plus possible que nous restions jamais séparés l’un de l’autre : je le sens de nouveau, à présent, du plus profond de mon cœur. Ce que tu es pour moi, rien au monde ne pourrait m’en tenir lieu…
Bon matin, le 7 juillet
Au lit mes pensées se pressent déjà vers toi, mon immortelle Bien-aimée, parfois joyeuses, puis de nouveau tristes, demandant au Destin s’il nous exaucera. — Vivre, je ne le peux qu’entièrement avec toi ou pas du tout, j’ai même résolu d’errer au loin jusqu’au jour où je pourrai voler dans tes bras et pourrai me dire tout à fait dans ma patrie auprès de toi, puisque, tout entouré par toi, je pourrai plonger mon âme dans le royaume des esprits…